Le chef de l'Etat reçoit les lettres de créances de nouveaux ambassadeurs de l'Afrique du Sud, de la Mauritanie, du Canada et de la Suisse
Le chef de l'État, M. Ismaïl Omar Guelleh, a reçu aujourd'hui les lettres de créances de plusieurs ambassadeurs qui viennent d'être accrédités à Djibouti.
Il s’agit de l’ambassadeur de la République d’Afrique du Sud, Edward Xolisa Makaya, de l’ambassadeur la République islamique de Mauritanie, Khadijetou Mbareck Fall, de l’ambassadeur du Canada, Stéphane Ntwari Jobin, et de l’ambassadeur de la Confédération suisse, Pietro Mona.
Ces diplomates non résidents ont tous le statut d’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de leurs pays respectifs auprès de la République de Djibouti.
En.prenant la parole, ils ont salué tour à tour « les nombreux progrès » enregistrés à Djibouti sous le leadership du président Guelleh.
« Votre grande expérience d’homme d’Etat et de sage dirigeant vous ont permis de réaliser d’immenses acquis pour le peuple de Djibouti », a déclaré en ce sens le nouvel ambassadeur de la Mauritanie.
Le nouvel ambassadeur du Canada a, pour sa part, rendu un hommage tout aussi appuyé à notre pays.
« Je suis conscient que Djibouti apporte une contribution unique en matière de sécurité régionale », a-t-il déclaré en substance.
Ces diplomates ont par ailleurs exprimé leur détermination à œuvrer au renforcement du niveau de coopération et d’échanges entre la République de Djibouti et leurs pays respectifs.
Ainsi, le nouvel ambassadeur de la Confédération suisse a « formé le vœu que l’honneur qui lui échoit puisse se traduire par une contribution, non seulement pour le maintien des liens amicaux existant entre nos deux pays mais aussi pour leur renforcement et leur diversification ».
Le président de la République, M. Ismaïl Omar Guelleh, a quant à lui souhaité la bienvenue à Djibouti à chacun de ces diplomates.
« Nous sommes, tout autant que vous, résolus à explorer avec votre pays les possibilités de partenariats dans tous les domaines », a-t-il dit, avant d'assurer à chacun de ces diplomates sa disponibilité ainsi que celle de son gouvernement pour leur apporter « tout l’appui nécessaire à l’accomplissement de leurs nobles missions ».